Le 7 février dernier, la Brigade des mœurs a interpellé 3 prostituées, nichées dans un appartement à la Médina. La proxénète, mariée et mère de 3 enfants, F. Gueye, est tombée avec ses 2 acolytes : M. Diallo et K. Niakhasso âgées de 21 et 20 ans.
Suite à une traque sur les réseaux sociaux, un policier, qui a consulté une annonce qui comportait des images obscènes, a composé le numéro de téléphone qui figurait sur l’affiche, entrant en contact avec F. Gueye, pour demander ses services. La dame mord à l’hameçon et lui indique sa position. Sur place, ils ont convenu d’un massage accompagné d’un rapport sexuel moyennant 40 000 F CFA. Le flic informera, avant d’entrer dans la cabine, ses collègues, qui débarquent et procèdent à l’arrestation de F. Gueye et sa bande.
Attraite à la barre des flagrants délits hier jeudi, F. Gueye, poursuivie pour proxénétisme, diffusion d’images contraires aux bonnes mœurs et défaut de carnet sanitaire, a soutenu à la barre qu’elle ne faisait que du massage sportif et tonifiant.
Sauf que souligne le journal Les Echos dans son édition de ce vendredi 10 février, la prévenue a été perdue par ses déclarations faites à l’enquête concernant le « nourou massage ». Ce que le juge n’a pas manqué de lui rappeler. Non sans expliquer que « pour ce type de massage, la masseuse et le client, nus, se frottent le corps jusqu’à éjaculation ».
Concernant le délit de diffusion d’images contraires aux bonnes mœurs, F. Gueye a accusé son annonceur, un certain Bouba. « Je n’étais pas au courant de l’existence de ces photos, s’est-elle défendue. C’est lui qui les a publiées. Il s’appelle Bouba et je lui payais par transfert 20 000 F CFA, chaque semaine. »
Ses employées, K. Niakhasso et M. Diallo, âgées respectivement de 20 et 21 ans, se sont juste limitées à dire qu’elles étaient masseuses, niant l’infraction liée au défaut de carnet sanitaire.
F. Gueye a été finalement condamnée à 6 mois de prison assortis du sursis et à une amende de 100 000 F CFA tandis que ses 2 acolytes ont écopé d’un mois d’emprisonnement avec sursis.
Suite à une traque sur les réseaux sociaux, un policier, qui a consulté une annonce qui comportait des images obscènes, a composé le numéro de téléphone qui figurait sur l’affiche, entrant en contact avec F. Gueye, pour demander ses services. La dame mord à l’hameçon et lui indique sa position. Sur place, ils ont convenu d’un massage accompagné d’un rapport sexuel moyennant 40 000 F CFA. Le flic informera, avant d’entrer dans la cabine, ses collègues, qui débarquent et procèdent à l’arrestation de F. Gueye et sa bande.
Attraite à la barre des flagrants délits hier jeudi, F. Gueye, poursuivie pour proxénétisme, diffusion d’images contraires aux bonnes mœurs et défaut de carnet sanitaire, a soutenu à la barre qu’elle ne faisait que du massage sportif et tonifiant.
Sauf que souligne le journal Les Echos dans son édition de ce vendredi 10 février, la prévenue a été perdue par ses déclarations faites à l’enquête concernant le « nourou massage ». Ce que le juge n’a pas manqué de lui rappeler. Non sans expliquer que « pour ce type de massage, la masseuse et le client, nus, se frottent le corps jusqu’à éjaculation ».
Concernant le délit de diffusion d’images contraires aux bonnes mœurs, F. Gueye a accusé son annonceur, un certain Bouba. « Je n’étais pas au courant de l’existence de ces photos, s’est-elle défendue. C’est lui qui les a publiées. Il s’appelle Bouba et je lui payais par transfert 20 000 F CFA, chaque semaine. »
Ses employées, K. Niakhasso et M. Diallo, âgées respectivement de 20 et 21 ans, se sont juste limitées à dire qu’elles étaient masseuses, niant l’infraction liée au défaut de carnet sanitaire.
F. Gueye a été finalement condamnée à 6 mois de prison assortis du sursis et à une amende de 100 000 F CFA tandis que ses 2 acolytes ont écopé d’un mois d’emprisonnement avec sursis.
7 Commentaires
Abass
En Février, 2023 (09:47 AM)Daba Kaba
En Février, 2023 (10:12 AM)Immigré Paris
En Février, 2023 (11:51 AM)Je fais semblant d'être un immigré qui cherche à passer du temps .j'ai eu beaucoup de contacts mais celle qui m'a surpris le plus c'est une dame qui voulait une rencontre non vénale juste pour le Plaisir,mais en vrai la dame est une flic.
J'ai pris le temps de vérifié ses numéros WhatsApp,sans attention de sa part yavais le drapeau des flics sur son profil,j'ai consulté des articles liée à la police par rapport à ce site et bim je vois que beaucoup de gigolos ont été arrêté par une policière qui se faisait passer pour une femme cougar dont l'identifiant et celle avec qui j'étais en Contact était le même.
J'ai compris que c'était un piège.
Méfier vous des femmes soi disant facile,ya toujours un truck derrière
Observateur Civile
En Mars, 2023 (13:04 PM)Aujourdh'ui, nous constatons la récrudescence du banditisme dans nos différentes localités durant ces dernières années. Sans vouloir citer certaines places publiques, marchés ou lieux connus, nous assistons à des vols à mains armés, actes de vandalismes ou encore actes de récelles et j'en passe... Au lieu de déployer la même énergie pour arrêter ces personnes, vous vous plaisez (les flics) à créer de faux profils et traquer des citoyens sur des sites de rencontres d'adultes, comme si vous même ne vous cacher pas pour en faire aussi. Ils vous les arretez fièrement pendant que ça tue et vole à coté de vous.
C'est pas serieux, du grand NPK.
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