« Il y a de cela quelques années, envoyer un papier radio ou de journal décourageait plus d’un correspondant. C’était la ruée et l’embouteillage dans les télé centres » a dit Moussa Dramé, président de l’association des journalistes de Sédhiou (Ajs). Aujourd’hui, indique le correspondant du groupe Sud com, « les conditions de travail du correspondant tendent vers l’excellence ». Il explique que l’accès à l’internet, à l’outil informatique, a sensiblement amélioré la qualité du service.
Cependant, Moussa Dramé est d’avis que le correspondant est encore vulnérable à la précarité, partant à la corruption. Justifiant cet argument, il se désole de la situation de certains de ses confrères qui œuvrent sans salaire et sans équipements de travail. Aussi, exhorte-t-il les patrons de presse à motiver régulièrement leurs correspondants afin de les mettre à l’abri de la manipulation. Il s’est aussi félicité du comportement actuel de la société, plus en plus consciente du rôle de la presse.
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